"Sur le plan de la production, le marché des prospectus est beaucoup plus compliqué que le marché de la presse magazine.
Les volumétries sont beaucoup plus importantes : le tonnage des catalogues publicitaires représente 5 ou 6 fois celui des périodiques français.
Ce n'est pas du répétitif. La pagination, le format... rien n'est régulier. C'est parfaitement adapté à l'offset. La variabilité de l'offset est ici intéressante par rapport à la rigidité de l'hélio, d'autant plus lorsqu'il y a de multiples versions."