"Il y a une multitude de gens en free-lance aujourd'hui qui font de la maquette. Et ils viennent nous voir pour faire des tickets d'entrée pour un festival, par exemple, mais, par contre, ils se sont débrouillés sur internet pour faire les flyers et les affiches...
Internet nous a quand même pris tout notre "boulot facile". On n'a plus de flyers en 5000 exemplaires ni d'en-têtes de lettre à 500 exemplaires... tout ça part sur internet.
Donc on n'a pas le choix pour pouvoir vivre : on doit se différencier des autres en gardant le spécifique."