Néo-Color (67) se modernise avec la SurePress d'Epson

Epson SurePress L-6034VW

Un investissement qui a permis à l'entreprise d'étendre ses possibilités d'impression et de développer les marchés du luxe.

Forte d'une expérience de plus de 50 ans dans l'univers de l'impression, Néo-Color, basée à Gertwiller est aujourd'hui le résultat d'une constance amélioration basée sur l'expérience professionnelle et la technologie la plus moderne. L'entreprise fondée en 1963 est aujourd'hui dirigée par Philippe Weber. L'entreprise est spécialisée dans la sérigraphie industrielle sur support synthétique et aluminium. Depuis 2012, l'entreprise manifeste le développement du marché des étiquettes conditionnées en bobines pour l'agroalimentaire, l'électroménager et l'industrie.

Dans l'objectif de proposer une qualité d'impression haute définition et d'élargir ses champs d'applications en proposant de la valeur ajoutée à ses clients, l'entreprise Néo-Color qui réalise 2,5 millions d'euros de chiffre d'affaires a installé l'an dernier une seconde presse numérique, une Epson SurePress L-6034VW.

La presse SurePress L-6034VW est une presse jet d'encre à séchage UV LED et encre blanche qui permet d'appliquer un vernis total ou sélectif, avec un rendu mat ou brillant.

L'impression de l'encre blanche, une forte demande dans l'étiquette de luxe

Avec cet investissement, l'imprimeur a rapidement séduit de nouveaux clients dans l'étiquette de luxe à court et moyen tirages.

"L'encre blanche nous a permis de gagner des marchés dans la cosmétique et la parfumerie : ces clients souhaitent souvent imprimer en blanc notamment sur des supports transparents".

L'imprimeur ajoute : "Et le vernis, c'est un vrai plus pour nous, car cela nous permet de remporter de nouveaux marchés et d'apporter une valeur différenciatrice à nos étiquettes." L'imprimeur se sert également du vernis pour unifier le rendu des encres UV.

La presse SurePress L-6034VW, une presse autonome

Concernant la vitesse d'impression, même si l'imprimeur était initialement quelque peu dubitatif, il a vite compris la philosophie de la presse Epson : "Notre première presse numérique d'un autre fabricant atteint les 47 m/min alors que l'Epson seulement les 15 m/min. Mais la machine Epson est vraiment très autonome : une fois les jobs lancés, nous n'avons plus à nous en occuper et cela compense très largement la vitesse d'impression."

Désormais, l'imprimeur envisage éventuellement l'achat d'une deuxième machine de découpe laser pour accompagner la croissance de la production en numérique de l'Epson.

Plus d'articles sur le thème