Spécialisé dans la PLV, Formes et Sculptures réalise 35 millions d'euros de chiffre d'affaires dans les secteurs du luxe. Le groupe, qui propose l'ensemble de la chaîne de production, de la création jusqu'au recyclage, en passant par la fabrication et l'installation, possède un atelier de production à Bléré en Indre-et-Loire, une agence à Paris et travaille avec des partenaires en Serbie et en Chine.
Il y a huit mois, l'imprimerie équipée uniquement en sérigraphie a installé sa première presse numérique. Elle a choisi une Impala 3 led UV de SwissQprint, une table à plat de 2,5 x 2 m en CMJN plus 5 canaux. Cette machine grand format imprime à une vitesse pouvant atteindre 180 m2/heure, et gère des supports très variés jusqu'à 5 cm d'épaisseur.
"La technologie numérique est parfaitement complémentaire de la sérigraphie" justifie Mathias Tenenhaus, le dirigeant et fils du fondateur de Formes et Sculptures.
En effet, le numérique est rapide à mettre en œuvre et peut permettre de petite série voire des exemplaires uniques tout en ayant une impression de "qualité quasi équivalente à la sérigraphie dans des délais ultra-compétitifs", appuie Bertrand Debierre, responsable production numérique du site.
Cet investissement apporte également de l'autonomie à l'entreprise qui a aujourd'hui internalisé l'impression sur carton et sur plastique.
Et avec la possibilité d'appliquer du vernis en relief, Formes & Sculptures propose de nouveaux rendus. "Nous avons réalisé un présentoir en sérigraphie que nous avons complété avec de la matière déposée (du vernis, NDLR) avec l'imprimante numérique lmpala. Cela permet de créer rapidement des éléments en relief qui donnent un aspect vivant et réel aux éléments du décor", apprécie Bertrand Debierre.
L'imprimeur a également testé de nouvelles matières comme l'aluminium, le métal et le verre.
Et Formes et Sculptures compte exploiter la qualité d'impression de l'Impala pour proposer de nouvelles choses dans le secteur des œuvres d'art. À suivre sur GraphiLine…