Des packagings monochromes pour les céréales Kellogg's
La marque Kellogg's en partenariat avec la marque américaine de crayon Crayola met en rayon dans les magasins d'Australie des paquets de céréales imprimés en noir et blanc. Les enfants sont invités à colorier les emballages carton. Une application sur smartphone permet ensuite de donner vie à un des personnages coloriés. Livre de coloriage, petit déjeuner et réalité augmentée en une seule compagne marketing !
Incendie à Smurfit Kappa Packaging
L'usine d'emballage en carton ondulé de Lys-lez-Lannoy dans le Nord a été victime d'un incendie vendredi 12 juillet. Une machine de découpe de carton a pris feu. Un employé a été hospitalisé, selon le journal Nord Éclair.
Nestlé invente un emballage en papier pour les confiseries
Yes!, la marque de barres de céréales de Nestlé Chocolat, est désormais emballé dans du papier recyclable.
"Ce lancement ouvre la voie à l'utilisation à grande échelle d'emballages en papier recyclable dans l'industrie de la confiserie. Jusqu'à présent, la production à grande vitesse d'en-cas à longue conservation était uniquement réalisée à avec des films plastiques et des laminés. Désormais, le papier peut être utilisé à grande échelle tout en garantissant la qualité et la fraîcheur des produits pendant toute la durée de conservation", indique le groupe.
Ça y est : la taxe Gafa adoptée
Le Parlement a définitivement adopté, jeudi 11 juillet, la taxe dite Gafa (acronyme de Google, Apple, Facebook et Amazon), qui met à contribution les géants d'internet et de la technologie.
La loi prévoit d'imposer de 3 % le chiffre d'affaires (revenus publicitaires, commissions touchées par les plateformes, revenus liés à la revente de données personnelles) en France des géants d'internet et de la technologie. Une trentaine de groupes sont concernés par cette taxe, avec en plus des quatre qui ont donné le nom de cette taxe, Meetic, Instagram, Airbnb et même le français Criteo.
"Les géants du numérique payent 14 points d'impôts de moins que les PME européennes", a rappelé Bruno Le Maire, le 3 avril dernier.
Cette taxe devrait rapporter 400 millions d'euros à l'État dès la première année, puis 650 millions d'euros en 2020.
Et si la France est le premier pays européen à mettre en place une telle taxe, six autres États membres de l'Union européenne y réfléchissent.