Lors de son assemblée générale le 16 mai, le Groupement des métiers de l'impression a tiré le bilan de l'année écoulée et présenté ses grands axes de travaux pour les années à venir.
L'organisation patronale se félicite, malgré un "contexte compliqué", d'un bilan 2021 "très positif". Il gagne cinq points de représentabilité des entreprises, a mis en place des partenariats avec les principales écoles de la filière graphique et a lancé le Club achat France impression.
Cette année, le GMI souhaite fédérer les organisations des filières au sens large afin d'avoir "une défense renforcée [des] professions et avoir un plus grand impact auprès des décideurs politiques, économiques et sociaux".
Le GMI se concentrera également sur l'attractivité des métiers des arts graphiques. Plusieurs initiatives seront mises en place pour aider les entreprises à s'adapter à l'évolution constante des métiers.
L'organisation compte aussi mettre en avant le label Print In France. Lancée en 2013, cette estampille distingue les entreprises "qui produisent en France et valorisent les emplois ainsi que les produits et savoir-faire français et pour lesquelles les entrepreneurs ont une forte appétence".
Et trois administrateurs ont fait leur entrée au conseil d'administration du GMI, élus à l'unanimité par l'assemblée : Dominique Boucard, dirigeant du groupe Lenouvelr, situé dans la région rochelaise, Philippe Claudel, directeur commercial du groupe DupliPrint basé dans le Val-d'Oise et Claire Borey, directrice des ressources humaines du groupe européen spécialisé dans l'impression de livres CPI. Claire Borey renforce le pôle juridique et social, pôle qui identifie les enjeux de la branche et élabore une politique sociale commune aux entreprises adhérentes.